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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 08:25

Un message pour présenter le blog de Sophie, sur la thérapie par biorésonance, qui vient de rejoindre la communauté Guérir autrement, et lui souhaiter la bienvenue.
 

La thérapie par biorésonance se définit ainsi :


"La biorésonance est une médecine holistique centrée sur la compréhension des différents mécanismes biophysiques régissant la vie et plus particulièrement sur l'action des ondes électromagnétiques.

C'est une technique de soins utilisée en Médecine Quantique Elle utilise pour cela un appareillage électronique permettant de rectifier les distorsions oscillatoires cellulaires à l'origine des pathologies fonctionnelles."


Important :

Il faut préciser que cette approche permet de faire un état des lieux et un travail sur le plan énergétique, mais elle ne se substitue pas à la consultation, au diagnostic et à la prescription de traitements relevant uniquement du corps médical.


Pour en savoir plus je vous invite à visiter le blog de Sophie :

http://bioresonance-sophie.over-blog.com


blog-bioresonance.jpg

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 07:44

Le magazine Psychologies publie une interview de David Servan-Schreiber, dans laquelle il parle de sa lutte contre le cancer, et de sa grave rechute, il y a un an.

 

David-Servan-Schreiber-nous-dit-au-revoir_imagePanoramique5.jpg


C’est un livre à coeur ouvert, d’une franchise et d’une pudeur incroyables, que publie David Servan-Schreiber. Le neuropsychiatre, connu dans le monde entier grâce à ses deux ouvrages Guérir (Pocket, “Évolution”, 2005) et Anticancer (Robert Laffont, 2010), raconte au jour le jour l’évolution de la tumeur du cerveau avec laquelle il vit depuis dix-neuf ans, et sa grave rechute, il y a un an. Ses quatre opérations, ses moments durs et ses joies, le soutien sans faille de ses proches, sa peur de la mort, ses plaisirs quotidiens, son père, sa vie amoureuse, ses enfants… David signe un récit très personnel, intense et émouvant, simple et sincère. En bon scientifique, il revient aussi sur le corpus de savoirs qu’il a contribué à faire connaître : les bienfaits de la méditation, de l’activité physique, d’une alimentation saine, d’un environnement calme...

 

Interview sur le site de Psychologies :

http://www.psychologies.com/Bien-etre/Sante/Cancer/Interviews/David-Servan-Schreiber-nous-dit-au-revoir

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 15:56

Voici la synopsis de Rencontre mystique :

 

rencontre-mystique.png

 

Une jeune femme à la recherche du sens de son existence part pour l'île de la Réunion où elle rencontre un guérisseur. Suite à ses révélations sur une vie passée et leur mission, elle reçoit un signe confirmant ses prédictions. 

Sa vie est bouleversée. 

Elle décide de suivre les pas du guérisseur sur son chemin initiatique. Commence alors une extraordinaire aventure spirituelle.

Elle devient le témoin de ses guérisons, sa clairvoyance, et des synchronicités qui se manifestent en sa présence.

En recevant ses enseignements, elle découvre qu'il est aussi un sage, porteur d'un message, un retentissant appel à s'éveiller. 

Rencontre mystique est le récit émouvant de ce chemin initiatique hors du temps. 

 

Site web du roman :

http://www.rencontremystique.com

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 15:39

Rencontre mystique est un roman initiatique, le récit d'une quête spirituelle et d'un voyage hors du temps. 

C'est aussi mon premier roman, dont je viens de terminer l'écriture.

En attendant sa parution à l'automne, vous pouvez consulter le site de présentation du livre.

Il contient la synopsis, des photos et des extraits du livre...

http://www.rencontremystique.com

 

site-rencontremystique.jpg

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 08:06

foret-automne.jpg       

 

Face au défi que représente pour chacun d’entre nous le changement et le fait de faire (ou laisser) tomber nos résistances, nous sommes généralement conditionnés à croire un certain nombre d’idées reçues. Utilisées comme alibis derrière lesquels nous nous retranchons pour ne pas embrasser le changement, elles reposent sur des préjugés et des croyances erronées. En voici quelques-uns...


1. Changer est difficile


Cette croyance est probablement celle qui nous limite le plus. Mais elle est sans fondement. Notre vie, depuis nos toutes premières années, quand nous avons appris à marcher, à parler… est une longue succession d’apprentissages et de changements. En réalité, c’est le premier pas qui coûte. Mais lorsqu’on commence à effectuer des changements, aussi petits soient-ils, on réalise qu’en soi, le changement n’est pas difficile. Il est même une composante naturelle de notre être, puisque nous faisons partie de la Vie qui est elle-même en perpétuelle évolution. Mais notre opposition au changement complique singulièrement les choses. Et croire qu’il est difficile de changer érige des barrières invisibles dans notre esprit mais bien réelles pour notre psyché. Or, le changement n’est pas difficile, et si on l’aborde avec simplicité, de façon organique, c’est à dire non mentale, en entrant dans l’expérience, il devient tout simplement… facile, aussi étonnant que cela puisse être pour nombre d’entre nous, de prime abord en tout cas.


2. Changer est douloureux

 

Derrière ce mensonge se cache simplement un lien étroit, une connexion neuronale que nous avons établie en associant le changement à la douleur. En modifiant nos croyances, il est possible d’associer le changement à la notion de plaisir, et de faire que le changement ne soit plus une source de douleur. Si par exemple je décide, alors que je déteste courir, de relever un défi et de m’entraîner pour le marathon, et que j’associe le fait de réussir à une immense source de satisfaction et de fierté personnelle, alors la sensation désagréable disparaîtra et courir deviendra agréable.

Et quand nous sommes face à l’obligation de changer, ce n’est pas le changement en lui-même qui est douloureux, mais notre résistance. Plus nous acceptons de nous transformer, moins nous ressentons de douleur et plus nous associons de plaisir au fait d’évoluer, de rencontrer de nouvelles situations et de nous améliorer en apprenant à mieux nous connaître. 

 

3. Changer prend du temps

 

C’est vrai quand nous nous donnons le temps (ou plus exactement quand nous le prenons), pour remettre à plus tard des changements que nous savons devoir effectuer. C’est vrai aussi quand nous opposons nos réflexions mentales et nos réactions émotionnelles aux changements nécessaires et salutaires que la Vie s’emploie à nous montrer. Plus nous faisons de la résistance, plus le changement prend du temps. Mais nous pouvons tout aussi bien écourter ce temps en décidant de suivre notre intuition et en commençant à modifier sans délai nos attitudes, nos comportements, et suivre le chemin que la Vie trace devant nous. Tout s’accélèrera alors dans un mouvement continu et harmonieux qui se dessinera au-delà des formes parfois chaotiques des bouleversements de notre vie au quotidien.


4. Le changement n'est pas donné à tout le monde

 

Tout le monde peut changer, même les êtres apparemment les plus réfractaires au changement. Paradoxalement, j’ai été le témoin de transformations incroyables chez des êtres qui ne semblaient pas enclins au changement, et vice versa, j’ai vu des personnes rester ancrées dans des comportements quand les apparences donnaient l’impression qu’un changement était naturel et évident. La raison est simple : la question n’est pas si l’on peut mais si l’on veut changer. C’est à chacun d’y répondre, et de ce point de vue, aucun de nous n’est privilégié. La faculté de se transformer, et de s’éveiller, est donnée à chacun de nous, sans aucune exception, et sans discrimination. Cela nous place indéniablement face à notre responsabilité.


5. Le changement dépend de conditions favorables

 

C’est dans les conditions les plus extrêmes, et parfois les plus terribles, que l’on assiste aux plus extraordinaires métamorphoses de l’être humain. En réalité, les conditions apparemment favorables, c’est à dire confortables, ne prédisposent pas au changement. C’est même tout le contraire. Lorsque nous nous trouvons face à une situation dramatique, nous trouvons soudain en nous toutes les ressources pour changer. Il suffit de penser à la chose qui nous semble la plus difficile à changer, et d’imaginer que si nous ne la changeons pas de façon drastique dans les 24h, nous sommes condamnés à mort. Il y a fort à parier que la plupart d’entre nous fera non seulement le changement nécessaire, mais en plus n’éprouvera aucune résistance et aucune difficulté, et ne songera pas même à « négocier » devant l’enjeu vital que le changement est devenu.

En somme, face au changement, pour passer à l’action et lever nos résistances, cela revient à dire qu’il y a essentiellement deux questions à se poser : est-ce que je veux vraiment changer ? Et avec quelle force, quelle intensité est ce que je désire me changer ? 


Brenda

 

A lire aussi :

Pourquoi nous ne voulons pas changer... et comment nous pouvons

 

 

 

 


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15 juin 2011 3 15 /06 /juin /2011 18:28

 

eclipse-lune.jpg

 

Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre.

 

François Mauriac

 

 

PARIS (AFP) - Une éclipse de Lune, partielle ou totale selon les régions, sera visible dans toute la France mercredi soir, indique l'Association française d'astronomie (AFA).

Mercredi au coucher du Soleil, la Lune se lèvera au-dessus de l'horizon sud-est vers 22H00, et elle sera partiellement ou totalement éclipsée en fonction du lieu.

Dans le sud-est de la France et en Corse, les observateurs pourront voir le disque lunaire achever son entrée dans l'ombre de la Terre, souligne l'AFA dans un communiqué. Partout ailleurs, la Lune se lèvera déjà totalement éclipsée mais on pourra observer sa sortie progressive de l'ombre de 23H00 jusqu'aux alentours de minuit.

Une éclipse totale de Lune se produit deux fois par an, lorsque la Lune passe dans le cône de pénombre puis d'ombre de la Terre, rappelle l'AFA. Le Soleil, la Terre et la Lune sont alors quasiment alignés, ce qui correspond à la phase de la pleine Lune.

Cachée du Soleil, notre satellite ne disparaît pas comme on pourrait le penser. En passant dans l'ombre de la Terre, la Lune prendra une teinte cuivrée plus ou moins rouge, caractéristique des crépuscules terrestres. Ce phénomène remarquable est dû à la réfraction de la lumière provenant de l'atmosphère terrestre qui éclaire la surface lunaire.

Un phénomène visible au télescope, avec des jumelles ou à l'oeil nu, à condition que les conditions météorologiques soient propices. Pour les malchanceux, l'AFA retransmettra en direct cet évènement sur son site http://www.afanet.fr

Site de l'association française d'astronomie

© 2011 AFP

Source :

Libération

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 07:43

Réactions positives à l'article Pourquoi nous ne voulons pas changer…  La communauté Architectes d'Intercoeurs - Mise en ligne prochaine d'extraits d'un roman initiatique à paraître à l'automne...

 

architectes-intercoeurs.png

 


Quelques nouvelles après ce week-end pluvieux et littéraire de Pentecôte…

 

Tout d’abord, merci à vous pour vos retours sur les derniers textes du blog, en particulier celui qui s’intitule Pourquoi nous ne voulons pas changer… qui a suscité des réactions très positives (dans les commentaires, par mail ou sur le forum Spirit Partage).

 

Apparemment c’est un sujet qui intéresse beaucoup, et que je vais donc continuer d’approfondir. Pour faciliter l’accès à ces articles, j’ai créé une nouvelle rubrique dans le menu, « Articles par thèmes », qui comme son nom l’indique, répertorie les articles par thématiques : développement personnel, intuition, santé, spiritualité…

 

J’ai également rejoint une communauté originale, Architectes d’Intercoeurs pour ses valeurs que je partage : l’amitié, la solidarité, le respect, le partage… Elle est animée par le très dynamique Marc de Metz qui réserve un accueil chaleureux aux nouveaux venus. Je le remercie pour son sympathique message de bienvenue.

 

Architecte d'Intercoeurs rassemble des blogueurs et blogueuses qui partagent leurs écrits autour de valeurs humaines essentielles, avec amour et humour, dans un esprit de tolérance et de partage. Des valeurs à cultiver dans un monde qui en a bien besoin. Le goût de l'écriture est aussi au centre d'Architectes d'Intercoeurs.

 

L'écriture des deux livres sur lesquels je travaille occupant la quasi totalité de mon temps, je vais ralentir quelque peu les publications sur le blog. Mais d’ici peu, je mettrai en ligne des extraits du roman initiatique que je suis en train de terminer, et qui paraîtra à l’automne. Si vous voulez être informé(e) de sa parution, vous pouvez me laisser votre email ou bien vous inscrire à la newsletter du blog.

 

Amicalement,

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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 12:25

 

Notre relation au changement est une relation ambigüe et conflictuelle car  notre désir de nous accomplir et d’évoluer vers une vie meilleure se heurtent à nos résistances et nos peurs inconscientes…

 

route-montagne.jpg

 

Notre relation au changement est la plupart du temps une relation ambiguë et conflictuelle. Ambiguë car notre désir de nous accomplir et d’évoluer vers une vie meilleure se heurte à nos résistances intérieures. Conflictuelle, car ces résistances vont s’opposer à tout ce, et tous ceux, qui nous remettent en cause et nous incitent au changement. Si notre objectif est de réaliser un idéal de vie élevé et d’exprimer le meilleur de nous-mêmes, il est donc essentiel de clarifier notre relation au changement.


Le changement est avant tout une relation avec nous-mêmes. La notion de changement repose sur un postulat de départ qui est : tels que nous sommes, nous ne sommes pas parfaits. Cela semble assez évident à admettre, car à moins d’être un bouddha, un éveillé, et donc d’avoir déjà revêtu, pour employer les termes bouddhiques « l’intelligence parfaite et accomplie », nous avons tous encore un long chemin à parcourir.


Pour autant, ce constat de départ n’est pas si aisé à faire. La plupart d’entre nous n’abordent pas de façon sincère, avec objectivité, ce simple fait. Et ce manque de clarté détermine la qualité de notre relation au changement. Notre posture est ambiguë, car nous savons parfaitement que nous ne sommes pas des êtres parfaits et accomplis, et en même temps, nous voulons sans cesse nous prouver notre perfection et nos qualités. Et l’énergie que nous employons à vouloir nous prouver que tels que nous sommes, nous sommes parfaits, est une énergie que nous n’utilisons pas pour évoluer.


D’où vient cette confusion, ce manque de clarté, entre ce que nous savons, et la façon dont nous nous comportons ? Pourquoi érigeons-nous tant de freins et d’obstacles à notre propre évolution ? Pour avoir été confrontée moi-même encore et encore à ces mécanismes de sabotage et à cette incroyable contradiction, je me suis souvent posé ces questions.


Je crois pouvoir dire que la réponse tient en peu de mots et tourne autour d’un point central, qui est le nœud du problème : l’ego. Généralement quand on parle d’ego, on pense aussitôt à l’orgueil, la prétention, la suffisance… C’est l'une des expressions de l'ego, qui est particulièrement vraie pour certains d’entre nous. Mais il faut le reconnaître : nous faisons tous preuve d’orgueil, d’une façon ou d’une autre, avec plus ou moins d’éclat selon notre tempérament et notre personnalité.


Les « accompagnateurs du changement » sont coutumiers de ces réactions qui font que les élèves enthousiastes et motivés d’un jour s’improvisent en critiques avisés le lendemain. Et ils le font immanquablement lorsqu’ils se sentent en danger, quand ils sont sur le point de saisir une opportunité de changer, ou qu’ils sont remis en cause, tout simplement. Pour éviter ce qui pourrait être un début de changement, l’une des stratégies les plus communes est d’inverser les rôles, et de remettre en cause le mentor, le coach, ou l’instructeur spirituel, qui est alors critiqué, voire discrédité.

Ainsi que l’explique Robert Frager, maître Soufi renommé et psychologue éminent, dans une interview au magazine « What is Enlightenment ? » : «  L’ego, ou« nafs », a peur du changement, est terrorisé à en mourir par l’expérience mystique profonde et la transformation, parce que de son point de vue, ce changement c’est la mort… C’est cette partie en nous qui veut rester la même, une sorte de composante inerte qui dit : «Surtout ne change pas »


Dans le cadre de la thérapie, il n’est pas rare qu’une personne sur le point de découvrir la clé pour résoudre ses difficultés mette fin brutalement à sa relation avec le thérapeute, pour éviter d’avoir à faire le changement salutaire qu’elle est pourtant venue chercher. La levée de boucliers que créent nos résistances est révélatrice de nos peurs et des limites de nos schémas de  pensée.


Pour résoudre ce dilemme, nous devons remonter à la source du problème. Nos résistances sont liées à notre identité. Plus nous sommes identifiés à notre personnalité, et plus nous sommes réfractaires au changement. Mais quand nous prenons conscience que notre personnalité n’est qu’un masque que nous portons, un rôle que nous jouons, il devient possible de changer.


Nous réalisons alors que nos peurs inconscientes face à l’inconnu ont leurs racines dans nos réactions infantiles dont nous ne sommes pas sortis. Il est difficile d’entendre à l’âge de 30, 40, ou 50 ans que ce n’est pas nous qui réagissons, mais l’enfant que nous avons été, avec ses craintes d’être trahi, abandonné, de ne pas être aimé. Pourtant, pour la majorité d’entre nous, ce besoin d’amour, de sécurité et de reconnaissance nous poursuit tant que nous n’avons pas guéri les blessures de notre enfant intérieur.


Une fois que nous avons identifié ces mécanismes et que nous sommes prêts à nous en libérer, alors nous libérons une force plus puissante que ces peurs inconscientes, une vision plus vaste que nos schémas de pensées, et nous faisons l’expérience d’une relation nouvelle au changement, libérée de la peur, de l’orgueil et des préjugés. Nous comprenons que la Vie tout entière est en évolution permanente, et que si nous voulons nous accorder à son diapason, nous devons en toute simplicité et humilité, être prêts à changer.


Nous réalisons alors que changer ne remet pas en question ce que nous sommes fondamentalement, mais nous permet de nous délivrer de l’illusion de ce que nous ne sommes pas. Se transformer, c’est guérir des blessures de son enfant intérieur, et se délivrer des peurs qui nous ont empêché d’avancer vers notre épanouissement et notre liberté.


Et quand nous sommes sincèrement et résolument prêts à changer, nous ne nous opposons pas à ce qui nous remet en cause, nous l’accueillons avec un intérêt renouvelé, pour être nous aussi, d’instant en instant renouvelés, dans le courant de la Vie et de son processus de changement incessant.

 

Brenda

 

 

 

 

 

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6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 07:08

portables-bilbao.jpeg

Un forêt de portables brandis lors du sommet du Web à Bilbao, mi-mai. (Reuters)

 

Encore un comité d'experts sur la dangerosité présumée du portable, encore une conclusion en demi-teinte – en substance, rien n'est prouvé mais il y a bien un risque. La nouveauté, c'est que c'est cette fois l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui le dit.

Durant une semaine, une trentaine d'experts de plusieurs pays (liste des participants à voir ici) réunis sous l’égide du Centre international de recherche sur le cancer (Circ), une agence de l’OMS, ont remis à plat les dizaines d'études existantes sur le sujet. Résultat (résumé ici en anglais, en attendant la mise en ligne complète dans quelques jours): «les preuves, qui continuent à s’accumuler, sont assez fortes pour justifier» de relever l’usage du téléphone portable à la classification 2B, sur une échelle de 4. La classification 1 correspond à un risque établi (y sont rangés le tabac, l'alcool, un certain nombre de composés métalliques et chimiques), la 2A à un risque probable, la 2B à un risque possible (on y trouve entre autres les vapeurs d'essence, une certaine sorte de talc ou... le café).

Le risque retenu pour les champs électromagnétiques de radiofréquence (les ondes des portables) par le groupe de travail est celui du gliome, une tumeur du cerveau. Les experts ne sont pas allés jusqu'à le quantifier, mais soulignent que l'une des études prise en compte, et qui remonte à 2004, évoque un surrisque de 40% pour pour un usage de 30 minutes par jour durant dix ans.

Seulement voilà, depuis, la technologie des téléphones a évolué, tout comme les usages. En gros, on téléphone plus, mais avec des appareils moins émetteurs. D'où la difficulté d'obtenir des résultats épidémiologiques à la fois poussés, donc réalisés sur le long terme, et valables pour les usages et technologies actuels.

Principe de précaution

En attendant d'y voir plus clair – la vaste étude Interphone, lancée en 2000 et qui n'a pour le moment pas conclu à l'existence d'un risque avéré, suit son cours en se concentrant maintenant sur les enfants et adolescents – le Circ préconise «de prendre des mesures pragmatiques afin de réduire l’exposition» aux ondes. Lesquelles? Kurt Straif, analyste au Circ, détaille:«Ce qui probablement entraîne le plus haut niveau d’exposition, c’est utiliser le portable pour des appels. (...) Si vous l’utilisez pour des SMS, ou avec un kit mains libres pour les appels, vous abaissez l’exposition de dix fois.»

«Il est évident que ce signal fort émis par une institution comme l'OMS, dont on connaît les habituelles réserves par rapport au principe de précaution, doit induire des décisions immédiates de la part du gouvernement», appuie Stephen Kerckhove, d'Agir pour l'environnement. L'association demande notamment l’interdiction de la promotion des portables destinés aux enfants de moins de 14 ans, l'interdiction de la possession du portable à l'école (et pas du simple usage), l'intégration obligatoire de l'oreillette.

«A partir d’aujourd’hui, plus personne ne pourra dire "le risque n’existe pas" et chacun à son niveau - politiques, opérateurs, employeurs, utilisateurs, parents,…- devra en tenir compte», réagit aussi Janine Le Calvez, de Priartem, l'autre association très mobilisée sur cette question des ondes.

Dans le camp des opérateurs, la Fédération française des télécoms rappelle qu'un kit oreillette est inclus dans chaque coffret de téléphone mobile. Et surtout profite de l'incertitude des conclusions du comité pour retenir une interprétation à son avantage: «En choisissant 2B, [le Circ] indique que le lien entre cancer et ondes radio n’est pas démontré.» 

 

Source :

Libération

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6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 07:03

kid_with_cell_phone.jpg

 

Nouvelle alerte sur la dangerosité des mobiles. L’agence de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé mardi que l’usage des téléphones portables devait être considéré comme «peut-être cancérogène pour l’homme». «Les preuves, qui continuent à s’accumuler, sont assez fortes pour justifier» une telle classification, a estimé Jonathan Samet.

Ce dernier préside le groupe de travail d’une trentaine d’experts de 14 pays qui s’est réuni pendant huit jours à Lyon. A la base de cette mise en garde, «des études épidémiologiques montrant un risque accru de gliome, un type de cancer du cerveau associé avec l’usage du téléphone sans fil», a dit M. Samet lors d’une conférence de presse téléphonique.

Le mobile est classé 2 B sur une échelle qui va de 1 (cancérogène) à 4 (probablement pas cancérogène pour l’homme). Ce classement signifie qu’«il peut y avoir un risque, et que donc nous devons surveiller de près le lien entre les téléphones portables et le risque de cancer», a ajouté M. Samet, après que les experts ont analysé toutes les études déjà publiées sur le sujet.

 

Source :
Libération 

 

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